Attention, chef d'oeuvre !
Stanley Kubrick au sommet de son art.
La trajectoire météoritique d'un pauvre gars qui devient un lord avant de redevenir ce qu'il n'a jamais cessé d'être.
Des scènes intimistes aux extérieurs aux lumières changeantes, un film qui sait retrouver les touches des pinceaux de Gainsborough ou de Hogarth.
Et la lancinante sarabande de Haendel.
3 commentaires:
Très bon choix!
J'en ai moi-même posté deux extraits sur mon propre blog... SI ça vous tente: http://lisettelacousette.blogspot.com/2007/04/belles-choses.html
Oui! Quel film! Et quelle musique! Un régal pour les yeux, les oreilles et le coeur.
Je viens de découvrir votre blog, et j'y consacrerai un billet dans le mien, pour mettre en valeur votre travail. Quelqu'un qui fait une place à Barry Lyndon dans ses colonnes ne peut pas avoir mauvais fond. ;-)
Je suis particulièrement saisi par le parallèle que vous avez trouvé et démontré, images à l'appui, entre la "robe du baiser" et celle du tableau de Gainsborough. L'oeil du métier, sûrement !
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