mardi 5 février 2008

Aurais-je oublié Venise ?

En revenant sur mes pas, dans ces colonnes, pour pointer des thématiques que je m’étais promis d’aborder et que j’ai laissées en déshérence pour l’instant, je me rend compte que si j’ai abordé Venise de manière indirecte, au travers de Canaletto qui l’a représentée, au travers de romans ou de bandes dessinées l’utilisant comme décor, au travers de ses masques ou de ses poètes, je ne lui ai pas offert une place de premier plan, une place bien à elle.



Or, s’il y a bien une ville dix-huitièmiste qui occupe mon esprit, c’est bien la Venise du Settecento, loin devant Paris, Londres ou Madrid. Bien évidemment, l’ayant découverte par la série de BD Giacomo C., notamment, j’ai d’abord été ébloui par ses charmes et, peut-être, son côté un peu superficiel.
Mais, partant des références bibliographiques données à la fin de l’un des tomes de cette série, j’ai commencé à explorer cette ville par les livres, récents et moins récents.

Je consacrerai donc, bientôt, des billets à Venise et à la Vénétie, avec des regards historiques, artistiques, architecturaux, gastronomiques.

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Illustration : Giacomo C. par Griffo, pour les éditions Glénat.

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