« A-t-on des nouvelles de Monsieur de Lapérouse ? » Une tradition veut que ce soit quelques-uns des derniers mots prononcés par Louis XVI sur l'échafaud. Cette réplique, très probablement apocryphe, n'en montre pas moins à quel point à quel point le non-retour de Lapérouse en France soulevait des questions dans l'esprit de ce roi si attaché au fait maritime, à l'exploration et au développement des connaissances.
Jean-François de Galaup, comte de Lapérouse (ou La Pérouse), l'albigeois, a été l'un des explorateurs célèbres du Pacifique au dix-huitième siècle, après James Cook et Antoine de Bougainville. En disparaissant en 1788, il entre dans la légende, à nos yeux de Français, tout au moins ; au point que son nom est aussi prestigieux que celui de James Cook, alors que le « palmarès » de ce dernier en termes de voyages d'exploration est bien plus conséquent.

Certaines séquences mettent en lumière des aspects intéressants, dans la valorisation prospective des éléments découverts, avec des approches de reconstitution, de simulation.


Je ne prétends pas que mon billet reflète une brûlante actualité, puisque ces reportages ont été diffusés à la télévision puis en DVD en 2005. Toutefois, je profite d'une prochaine actualité pour en reparler : en effet, le Musée de la marine à Paris présentera, du 19 mars au 20 octobre 2008, une exposition intitulée Le mystère Lapérouse, enquête dans le Pacifique Sud.
Sire, nous avons des nouvelles de Monsieur de Lapérouse.
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