Les éditions Quadrant avaient eu la bonne idée de lancer le septième album de la série de BD L'Épervier, de Patrice Pellerin, sous forme de cahiers appelés Les rendez-vous de l'Épervier, formule dont j'ai déjà parlé ici.
Une formule comprenant 16 pages de BD (l'album complet, en 48 pages, étant donc publié en 3 cahiers) et 16 pages de « bonus », permettant aux lecteurs de découvrir les coulisses de la création d'une telle série de bande dessinée : l'auteur y dévoile ses inspirations, ses recherches techniques ou documentaires, etc.
Format peut-être un peu frustrant, puisqu'un tiers d'album de BD, ça représente finalement peu de matière à se mettre sous la dent mais, à mes yeux, ces compléments donnent beaucoup de valeur à ces cahiers.
Pour une raison que je ne connais pas, il se trouve que l'album complet, La mission, est arrivé sur les rayons des libraires avant que le troisième cahier ne soit sorti... Voilà qui revient un peu à mettre la charrue avant les bœufs, si je peux oser cette expression pleinement terrestre pour cette saga largement parfumée de mer.
Mais cette expression terrestre n'est pas vraiment déplacée pour ce septième tome de la série, puisque l'aventure est, justement, plutôt terrestre. Notre héros, Yann de Kermeur, est en effet pris dans des intrigues qui se nouent plutôt dans les couloirs de Versailles que sur la houle de l'Atlantique. Certains fans de la série pourront donc trouver que ce nouveau cycle débute sur un ton et un rythme bien différents de celui qui sous-tendait les six tomes du premier cycle. Avec cette Mission, Pellerin prend le temps de mettre en place le décor et les acteurs, avant de donner les trois coups qui vont lancer la pièce.
Après un premier cycle qui nous conduisait de Bretagne en Guyane, voici que s'ouvre un deuxième cycle qui nous conduira de Versailles à Québec. Mon impatience est donc déjà bien installée. Cependant, au rythme où paraissent les albums, compte tenu du travail très soigné de Pellerin dans ses recherches, ses dessins et ses mises en couleurs, je crains d'être prisonnier d'une impatience de longue durée.
Bah, qu'importe d'attendre, si le résultat final est à la hauteur de l'impatience ?
Une formule comprenant 16 pages de BD (l'album complet, en 48 pages, étant donc publié en 3 cahiers) et 16 pages de « bonus », permettant aux lecteurs de découvrir les coulisses de la création d'une telle série de bande dessinée : l'auteur y dévoile ses inspirations, ses recherches techniques ou documentaires, etc.
Format peut-être un peu frustrant, puisqu'un tiers d'album de BD, ça représente finalement peu de matière à se mettre sous la dent mais, à mes yeux, ces compléments donnent beaucoup de valeur à ces cahiers.
Pour une raison que je ne connais pas, il se trouve que l'album complet, La mission, est arrivé sur les rayons des libraires avant que le troisième cahier ne soit sorti... Voilà qui revient un peu à mettre la charrue avant les bœufs, si je peux oser cette expression pleinement terrestre pour cette saga largement parfumée de mer.
Mais cette expression terrestre n'est pas vraiment déplacée pour ce septième tome de la série, puisque l'aventure est, justement, plutôt terrestre. Notre héros, Yann de Kermeur, est en effet pris dans des intrigues qui se nouent plutôt dans les couloirs de Versailles que sur la houle de l'Atlantique. Certains fans de la série pourront donc trouver que ce nouveau cycle débute sur un ton et un rythme bien différents de celui qui sous-tendait les six tomes du premier cycle. Avec cette Mission, Pellerin prend le temps de mettre en place le décor et les acteurs, avant de donner les trois coups qui vont lancer la pièce.
Après un premier cycle qui nous conduisait de Bretagne en Guyane, voici que s'ouvre un deuxième cycle qui nous conduira de Versailles à Québec. Mon impatience est donc déjà bien installée. Cependant, au rythme où paraissent les albums, compte tenu du travail très soigné de Pellerin dans ses recherches, ses dessins et ses mises en couleurs, je crains d'être prisonnier d'une impatience de longue durée.
Bah, qu'importe d'attendre, si le résultat final est à la hauteur de l'impatience ?
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2 commentaires:
J'avoue que j'ai vraiment fait le cake, avec le ce 7e tome, parce que non seulement je n'ai pas terminé le premier cycle (j'en suis au tome 5), mais en plus je l'ai lu planquée entre deux rayonnages de librairie en commençant par la fin... résultat j'ai cru que la Milady en rouge, c'était la comtesse de Kermellec, et je me suis franchement demandée quoi... ça m'apprendra, tiens.
Votre billet me motive pour m'y prendre par le bon bout, cette fois XD
Ah, évidemment, en lisant les livres d'une série dans le désordre, ça peut donner des résultats étonnants. Un peu comme un film de Lelouch, avec sa nuée de flashbacks.
Comme je suis cartésien, je m'en tiens à l'ordre prévu par l'auteur, mais je comprends que des esprits plus libres choisissent de bousculer les convenances ! ;-)
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