mardi 24 juillet 2007

Ne ratez pas la fête !

Vous envisagez peut-être de passer votre soirée du jeudi 26 juillet devant l'écran de votre télévision. Vous hésitez peut-être entre l'ambiance policière des Experts : Miami et l'ambiance "peplum noir" de Rome (une excellente série, soit dit en passant).

N'hésitez plus. Et ne choisissez ni l'un ni l'autre. Passez donc sur Arte, et régalez vous, avec Que la fête commence, de Bertrand Tavernier (1974). J'évoquais ce film à la fin d'un récent billet. Je n'en discuterai pas en grand détail dans ce billet-ci non plus, préférant prendre le temps d'y consacrer une chronique un peu plus développée.

Mon message du jour se veut simple : ne ratez pas pas Que la fête commence, le jeudi 26 juillet, sur Arte. Intelligent et drôle, acide et libertin, voilà un plat qui se déguste et se redéguste. Noiret, Rochefort, Marielle, voilà un trio que vous ne pouvez fuir.

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Oh oui! J'en ai eu vent! Merveilleux! Que ne ferait-on pas pour Rochefort?!

Monsieur de C a dit…

Pour ceux qui rateraient sa diffusion télévisée, sachez qu'il existe en DVD à prix modique. Vous n'avez pas d'excuse pour continuer à l'ignorer. ;-)


Quant à Jean Rochefort, j'en suis grand fan, et donc peu objectif à son sujet. Dans le rôle du cardinal Dubois, je le trouve vraiment très bon.

Anonyme a dit…

Avez-vous lu "Les carnets retrouvés de Don Juan" ? Qu'en avez-vous pensé ? Ce livre vient de sortir.

Monsieur de C a dit…

Non, je n'ai pas lu ce livre. Je reconnais, d'ailleurs, ne pas le connaître. Je vais, de ce pas, me rendre dans ma librairie préférée et le regarder de plus près.

Ce sera probablement une de mes lectures de vacances. :-)

Merci pour cet aiguillage.

Anonyme a dit…

Trépignant d'impatience, j'ai regardé ce film et... quelle déception! Tout cela était d'un triste! A peine si quelques petits soupers nous sont montrés! Je m'attendais peut-être à trop. Noiret y est fade. Les femmes y jouent assez mal et les costumes ne sont guère affriolants. Néanmoins, Rochefort en Dubois: jouissif! Il est le seul à réhausser un peu l'ennui que j'ai éprouvé. Quelques passages marrants tout de même. Et moi qui me faisait un fête de voir ce film; tant ^pis!

Monsieur de C a dit…

Mince...
J'avais espéré vous découvririez un film qui vous plaîrait.
Alors, que vous dire ? Sinon que les goûts et les couleurs...

Il est vrai que ce film n'a rien de flamboyant (ce n'est pas Ridicule, par exemple). C'est plutôt "la chair et la chère sont tristes", une ambiance crépusculaire, la dénonciation d'un décadence supposée ou réelle de ce régime.
C'est justement cet aspect-là qui me semble donner son sens au film, en contradiction totale, d'une certaine manière, avec le titre.

Anonyme a dit…

Oui, vu de ce côté-ci, il est intéressant. Je crois que si j'ai été tant déçu c'est que je m'attendai à un tout autre contenu.

Monsieur de C a dit…

En ce cas, le tort est mien, car j'ai probablement tourné mon billet d'une façon qui donnait une image biaisée de ce que peut être ce film.

Voilà qui m'amènera à être plus vigilant dans mes prochaines chroniques. ;-)